Les « untold stories »

Arthur Conan Doyle a été l’une des sources d’inspiration pour la série des « Singleton et Trelawney ». Il faut dire que si la figure du détective amateur a été inventée par Edgar Poe, c’est Doyle qui l’a pérennisée. J’ai repris de lui le procédé des « untold stories », c’est-à-dire le fait de mentionner des affaires qui ne feront jamais l’objet d’une mise en récit. Comme les plans des lieux dont j’aime à garnir mes textes, les références à des affaires non traitées m’ont toujours semblé extrêmement évocatrices, en tout cas elles ont toujours enflammé mon imagination. Des générations de lecteurs rêvent et rêveront de l’affaire dite du « Rat géant de Sumatra », jamais écrite par Conan Doyle. D’autres romanciers se sont essayés à combler ce manque en écrivant leur propre version.

Voici mes « untold stories ». À vous de reconnaître dans lequel de mes romans il en est fait mention :

L’égorgeur à la montre cassée

La dame blanche des marais

La momie de Trébizonde

L’estropiée de Lambeth

Le cendrier d’argent

La disparue qui revenait de loin

Le chevalier de la mort verte

L’homme-papillon

Le fakir épileptique

Le gang des voleurs de cloches

Le garçon coiffeur chauve

L’horreur des MacNabus

Les crucifiés de Primrose Hill

La malédiction des Fresnay

Le Judas belge

Le noyer bossu

Le saigneur de Paternoster Row

La gargouille aux yeux de sang

L’étrange M. Heller

L’héritier des Bradshaw

Le violon fantôme

 

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